Les « pervenches » en grève à Grenoble

Les agents du stationnement de Grenoble sont en grève depuis quatre jours, réclamant une prime de pénibilité eu égard à leurs conditions de travail.

Cela ne durera peut-être pas, mais depuis quatre jours, l’automobiliste grenoblois peut se garer n’importe où, il ne risquera pas d’amendes. Les 33 agents du stationnement de Grenoble sont ainsi en grève illimitée depuis vendredi dernier, réclamant une prime mensuelle de pénibilité de 120 à 150 euros.

En cause, « des objectifs de rentabilité de plus en plus importants » et la recrudescence des agressions supposément subies depuis l’augmentation du prix du PV – de 11 à 17 euros – le 1er août, et un statut d’agent administratif en décalage avec le travail de terrain effectué. A suivre.

En attendant, la municipalité a indiqué de son côté qu’aucun lien ne pouvait être établi entre le passage des PV à 17 euros et les conditions de travail de ses agents (source : 20 Minutes).

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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